PLANODION
éditeur pour le genre traditionnel de la revue littéraire, en même temps que son
désir de signaler et faire connaître des parutions culturelles et artistiques impor-
tantes selon lui et de créer parallèlement un espace indépendant de rassemble-
ment et d’expression d’intérêts littéraires et critiques personnels.
Dès son cinquième numéro (hiver 87-88), la revue avait déjà établi sa ligne
éditoriale, qui se traduit sommairement par une structuration des contenus en qua-
tre parties : (a) une première partie avec des contributions originales en poésie et
en prose ; (b) une deuxième partie, intitulée « Thèmes », dans laquelle sont pro-
posés sous une forme achevée, après une préparation longue et attentive, des tra-
vaux de traduction (poésie, nouvelle, essai) du domaine littéraire international ;
dans cette série ont été présentés des écrivains tels Philippe Larkin, Umberto Saba,
Walt Whitman, Ossip Mandelstam, René Wellek, Mikhaïl Bakhtine, Paul Celan
et beaucoup d’autres ; (c) une troisième partie, où, sous le titre éloquent de « Grand
Panhellénisme », sont publiés ou réédités des textes historiques qui sont, par leur
forme linguistique et leur angle d’approche particulier, indirectement en relation
avec les spécificités du questionnement néohellénique, constituant en même temps
un contrepoint au discours dominant des mass media ; enfin, (d) une quatrième
partie d’essais, de critiques de livres et de notes, sous le titre « Comptes rendus »,
où, dans sa riche matière, sont envisagées des expressions particulières de la civili-
sation néohellénique contemporaine, avant tout dans les œuvres littéraires, cepen-
dant souvent aussi avec des incursions dans d’autres formes culturelles, mais aussi
des prises de position de personnes et d’institutions qui constituent ce que nous
avons coutume d’appeler « politique de la culture ». En ce sens, la revue est poli-
tique et imprégnée de la conviction que le phénomène artistique et culturel, même
celui de l’artiste désormais consciemment isolé, constitue un acte de responsabilité
publique qui émane de la nature sociale des sujets et des thèmes dont il traite.
La revue a jusqu’à ce jour (octobre 2012) publié 52 numéros. Tous les deux
ans, elle fait paraître un volume (douze volumes sont déjà en circulation), avec des
contenus analytiques et des index en fin d’ouvrage qui en font des outils com-
modes de recherche rétrospective dans la matière de ses neuf mille pages. Parallè-
lement, avec chaque numéro sont aussi mises en circulation des publications
littéraires indépendantes, généralement des collections de jeunes poètes, qui sont
envoyées gratuitement aux abonnés de la revue.
NEA ESTIA
Revue littéraire fondée par l’écrivain Grégorios Xenopoulos, sa première
livraison remonte au 15 avril de 1927, déjà publiée, comme c’est toujours le cas,
par les éditions Hestia, fondées elles par I. D. Kollaros, libraire originaire de l’île
de Tinos. La revue n’a jamais depuis interrompu sa parution, devenant par ce fait
la publication littéraire la plus ancienne de la vie littéraire grecque moderne.
Sa mise en page et son style fut une source d’inspiration pour nombre d’autres
revues et publications. Les écrivains et critiques qui y ont publié se dénombrent par
milliers et ses pages consacrées à la chronique littéraire et bibliographique constituent
une source de toute première importance pour la vie intellectuelle grecque en ce
qui concerne la littérature, la critique littéraire, la langue et son histoire, l’histoire,
le théâtre et le cinéma.
Son directeur actuel qui a succédé à Stavros Zoumboulakis (1998-2012) est l’historien Nicolas Karapidakis.
ODOS PANOS
une autre époque. Je voulais que la revue publie quelques livraisons et s’arrête !
Je voulais présenter les talents qui constituaient la communauté de la revue – ci-
dessous l’Acropole d’Athènes – et ce que j’ai fait sous le même titre au troisième
programme de la Radio Grecque avec Manos Hadjidakis en 1979.
Cependant la première livraison de 3 000 exemplaires mise en circulation,
fut un grand succès : il a fallu réimprimer encore 3 000 exemplaires. Cette histoire
se poursuit depuis plus de 30 ans : 32 ans en 2012. Nous regardons seulement vers
l’avenir, les bougies allumées. Nous ne regardons pas en arrière, les bougies
éteintes. Selon les mots de Kavafis.
L’originalité de la revue est qu’elle publie des chroniques policières – l’assassi-
nat d’une prostituée, la mort d’un ours, la naissance d’un bébé dans les WC d’une
station de bus, etc. De plus, nombre d’écrivains et romanciers publient uniquement
leurs textes dans notre revue ; et parfois des écrivains et journalistes qui honorent
le monde grec aujourd’hui ont commencé dans nos pages.
La même année, 1981, nous avons créé nos éditions sous l’enseigne Odos
Panos Publications, qui comptent actuellement 450 titres.
La revue a 157 numéros. Et nous continuons grâce à l’aide du public, à nos
partenaires et aux éditeurs de livres qui nous donnent de la publicité.
Giorgos HRONAS
POIITIKI
Dans le premier numéro de Poiitiki – qui en substance est une continuation
de la revue Poiisi, qui a publié 30 numéros de 1993 à 2007 – l’éditorial affirme :
« Les poèmes, nous dit Paul Celan, sont toujours en route vers un lieu ouvert
qu’on peut conquérir, vers un “TU ” qu’on peut adresser, vers une réalité qu’on
peut appeler ». C’est ce TU à qui Poiitiki s’adresse, une revue pour l’art de la poésie
qui cherche par la cristallisation du geste poétique à approfondir et à enrichir
l’expérience de lecture. En même temps elle s’attend, par les traductions de textes
classiques et de projets novateurs, de commentaires et de critiques, et en parti-
culier de productions poétiques complètes, à devenir un lieu d’accueil pour ceux
qui renouvellent et éclairent le paysage de cet « art exigeant et difficile » – une
référence encore à Celan. Après dix numéros, une version resserrée à 350 pages
environ, et portés par l’adhésion du public, mais aussi d’écrivains et de critiques,
nous espérons que la plupart de ces objectifs ont été atteints.
La revue est publiée chaque année en mai et novembre par les Publications
Patakis. Harris VLAVIANOS poète, directeur de la revue;
ENTEFKTIRIO
La revue Entefktirio, qui parut pour la première fois en 1987 à Thessaloniki,
est une émanation littéraire et artistique de l’association culturelle « Société
Macédonienne d’Art et de Civilisation », association sans but lucratif, qui siège à
Thessaloniki, la deuxième ville la plus importante de Grèce, considérée comme
la co-capitale du pays.
Entefktirio paraît quatre fois par an et traverse actuellement sa 25 e année
d’édition ininterrompue. Elle compte jusqu’à présent 97 livraisons, dont trois
seulement furent des exemplaires doubles.
Comme son titre grec l’indique, Entefktirio est le « lieu imprimé » où se ren-
contrent les écrivains et leurs textes.
Bien que son siège se trouve dans une ville importante, mais périphérique à
la fois, Entefktirio est considérée comme étant l’une des revues littéraires et artis-
tiques les plus prestigieuses de Grèce, la seule d’ailleurs de son genre qui est res-
tée à Thessaloniki. Dans ses pages on trouve régulièrement un grand nombre de
textes consacrés à la littérature (poésie et prose) grecque et étrangère, des essais,
études et articles sur la littérature, la critique littéraire, les arts plastiques, le théâ-
tre, le cinéma, la musique, ainsi que plusieurs articles de combat sur l’actualité
socio-culturelle.
Plusieurs numéros de la revue furent spécialement dédiés à des écrivains et
poètes grecs fameux, tels Odysseus Elytis, Manolis Anagnostakis, Kiki Dimoula,
Titos Patrikios, Kleitos Kyrou, Giorgos Ioannou, Tolis Kazantzis, Nikos-Alexis
Aslanoglou, Anestis Evangelou, Menis Koumandareas, Dinos Christianopoulos,
Ektor Kaknavatos, Nora Anagnostaki, Vassilis Steriadis, Eleni Vacalo, D. N.
Maronitis, Takis Varvitsiotis, Alexis Traïanos, Dimitris Nollas, etc. En outre, des
livraisons sont consacrées à des thématiques spéciales comme par exemple « Pages sur
la prison », « Le Théâtre d’Art et Thessaloniki », « Littérature grecque traduite »,
« Parole autobiographique », etc., ainsi que plusieurs pages dédiées à la littérature
étrangère (chinoise, suédoise contemporaine, etc.) et à des personnages extra-
littéraires comme le peintre Francis Bacon, le graphiste d’après-guerre Yannis
Svoronos, l’ethnologue Alki Kyriakidou-Nestoros, le philosophe Kostas Axelos et
tant d’autres.
Des noms parmi les plus importants du firmament littéraire et de la critique
comptent parmi les collaborateurs de la revue, pourtant ses pages restent aussi
grandes ouvertes à de nouveaux talents, notamment sous la rubrique « Des voix
nouvelles ». Sans négliger l’attention à la traduction de textes littéraires étrangers
par des traducteurs affirmés et reconnus.
La production culturelle et artistique française fut d’emblée un sujet primor-
dial pour la revue Entefktirio. Dans son tout premier numéro figuraient déjà des
textes de Marguerite Duras et de Michel Foucault, tandis que par la suite y ont été
traduits des textes et poèmes des auteurs suivants : Guy de Maupassant, Jean-Jacques
Rousseau, Guillaume Apollinaire, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Émile Zola,
René Char, André Pieyre de Mandiargues, Paul Éluard, Alain Robbe-Grillet, Pierre
Seghers, Paul Valéry, Paul Verlaine, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Claude
Lévi-Strauss, Romain Gary, Jean Genet, Marguerite Yourcenar, Rolan Barthes,
Léo Ferré, Jacques Prévert, Jean-Luc Godard, Michel Deguy, Julien Green, et
d’autres encore.
Chaque exemplaire contient un supplément spécial, intitulé « Camera Obs-
cura », sur la photographie créative sous la responsabilité de Aris Georgiou. En
outre, il ne faut pas oublier de mentionner que les pages littéraires de Entefktirio
sont toujours illustrées par les œuvres d’un plasticien grec ou étranger connu, œu-
vres qui, très souvent, paraissent ici pour la première fois.
Parallèlement à la revue, la série des «Éditions Entefktirio» compte jusqu’à
présent 40 titres de littérature, d’essais, de poésie, de petits albums, tandis qu’à partir
de décembre 2001 s’ouvre l’espace polyvalent «Underground Entefktirio». Il s’agit
d’un espace au sous-sol d’un immeuble du centre ville, spécialement aménagé par des
architectes et designers, un centre culturel à plusieurs fonctions, à l’entrée libre, dans
lequel ont été organisées plus de 70 manifestations poétiques, musicales, littéraires,
théâtrales, cinématographiques, etc., manifestations clairement avant-gardistes
qui ont attiré surtout un public de jeunes qui tournent le dos à la culture « établie ».
Giorgos KORDOMENIDIS
PORFYRAS
des premières places. Éditée « à but non lucratif » à Corfou depuis 1980, cette
revue compte aujourd’hui 144 numéros. Honorée, en 2009, par le prix de la meil-
leure revue, décerné par le ministère de la Culture, elle connaît une grande re-
nommée.
La longue durée de son édition et la qualité des articles publiés sont recon-
nues par un nombre considérable de lecteurs. Parmi ses collaborateurs figurent des
professeurs d’université, des poètes, des écrivains, des critiques, des peintres, des
cinéastes de toute la Grèce.
Dimitris Konidaris (poète), Perikles Pagratis (prosateur), Sotiris Trivizas
(poète), et le peintre Spyros Alamanos (1947-2011) ont les premiers conçu l’idée
de l’édition de Porfyras et ont formé son premier comité de rédaction lequel a été
enrichi par d’autres personnes importantes de l’île comme les poètes Théotokis
Zervos, Nasos Martinos et pour peu de temps le poète Dimitris Sourvinos (1924-
2008). En réalité le comité de rédaction de Porfyras comporte encore un plus
grand nombre d’hommes de lettres de l’île.
Le titre de la revue montre l’inscription dans la tradition littéraire de Cor-
fou. Porfyras était le titre d’un poème du poète national de la Grèce Dionyssios So-
lomos, le poète qui a écrit l’hymne national du pays. Le même mot « porfyras »
désigne, dans un dialecte de l’île, le requin, symbole de la lutte de l’homme contre
l’adversité.
Parallèlement à ses numéros mensuels, des éditions spéciales sont consacrées
à des gens de lettres corfiotes comme le prosateur Spyros Plaskovitis (1917-2000),
le poète Ioannis Sarakinos (1914-1984) et le peintre Nikos Ventouras (1899-
1990) ; d’autres sont consacrées à l’écrivain Konstantin Théotokis (1872-1923),
au poète Dionyssios Solomos (1798-1857), au critique Iakovos Polylas (1825-
1896) ou au poète Andréas Kalvos (1792-1869).
Ajoutons que ce ne sont pas seulement les textes des écrivains d’origine cor-
fiote qui sont publiés dans ses pages mais aussi des articles des intellectuels de la
Grèce entière. Ainsi la revue continue-t-elle à accueillir des collaborations d’écri-
vains, d’érudits infatigables dans leurs recherches, d’universitaires de tous âges.
Par conséquent les jeunes écrivains et chercheurs trouvent ici une tribune aux
côtés de leurs aînés. Porfyras est par excellence une revue littéraire. Le choix de textes se fait par le comité selon leur originalité. Des thèmes d’intérêt local se juxtaposent à des
études sur des écrivains célèbres de la littérature mondiale mais les traductions de
textes tirés de cette riche littérature ne sont pas dans ses priorités, c’est pourquoi
elles sont plutôt rares. L’art figuratif, le cinéma, le théâtre y occupent aussi une pe-
tite place.
Par sa longue durée de présence dans l’histoire littéraire de la Grèce, Porfy-
ras est une des rares revues helléniques régionales qui, en gardant son noyau de col-
laborateurs corfiotes, élargit toujours ses horizons à toute la Grèce et jouit de
l’engouement de ses lecteurs grâce à la haute qualité des articles qu’elle leur pro-
pose.Dimitris KONIDARIS
TO DENDRO
Mavroudis en est le propriétaire et éditeur. Depuis 1982, l’auteur et critique de cinéma
Tassos Goudelis en est coéditeur.
La littérature du 20e siècle et une attention soutenue aux nouvelles expressions
caractérisent le travail de To Dentro.
Parallèlement, à travers les articles sur des thèmes culturels surtout grecs, la
revue exerce son influence sur la vie culturelle nationale.
Ses pages ont accueilli la plupart des noms de la littérature grecque et étrangère,
plusieurs voix y ont été présentées pour la première fois.
La revue To Dentro après 34 ans de publication continue est, somme toute,
un point de référence de la recherche philologique et universitaire, ainsi que pour
tous ceux qui s’intéressent aux études littéraires de qualité.
Depuis une dizaine d’années, elle publie également des études sur des person-
nages ou des thématiques culturels.
DESMOS
de Desmos, librairie grecque devenue également maison d’édition en 1996. Desmos / Le Lien est né du même désir que la librairie et les éditions : faire mieux connaître la culture grecque, donner accès à sa littérature d’aujourd’hui, refléter la création artistique, l’évolution de la société et de la pensée en Grèce, offrir aux Français et aux Grecs un lieu de rencontre, d’échange et de dialogue.
Chaque numéro est composé d’un Dossier, partie la plus documentée, la plus substantielle du menu, qui donne le ton, dans un souci permanent de diversité.
Au cours des numéros déjà publiés, le Dossier a été consacré à des poètes, écrivains,
cinéastes, plasticiens, à des genres littéraires comme le roman policier, ainsi qu’à
des courants culturels comme le surréalisme, a des faits sociaux tels que l’émigra-
tion ou l’immigration, à des périodes historiques déterminantes comme les années
50 ou bien encore des régions ou des villes à la charge symbolique importante.
Une autre rubrique est toujours présente, le Face à face, qui donne des textes
(nouvelles, poésie, extraits de romans, etc.) en version grecque et traduction
française inédite.
Souvent, le numéro s’ouvre sur une Carte blanche sur fond bleu, consacrée à
la vision personnelle, subjective, d’un auteur sur un créateur ou un aspect de la
vie culturelle et sociale. Il comporte aussi La Grèce revisitée, à la redécouverte de
l’esprit d’un lieu ou d’une région à partir de lectures anciennes ou d’émotions
actuelles, ainsi que La Grèce au présent qui veut permettre au public d’appré-
hender le fonctionnement et les évolutions de la société et des institutions
grecques. Chaque livraison comporte en outre des Nouvelles littéraires (comptes rendus
de lecture, parutions récentes en français, coup de cœur de lecteurs pour des classiques néo-helléniques) et, quand l’actualité culturelle l’exige, une rubrique Repères
(événements, débats, courrier).
La revue est tirée à 800 exemplaires, le nombre d’abonnés semble s’être sta-
bilisé d’une année à l’autre autour de 400 et la vente en librairie avoisine les 200
exemplaires. Actuellement, à la fin de cette 12e année d’existence sans interrup-
tion, nous pouvons souligner l’importance du très grand nombre de traductions
inédites proposées par Desmos / Le Lien.
De plus, la rédaction effectue un travail de recherches approfondi, qui dé-
bouche sur de longues introductions aux textes, donnant des informations im-
portantes sur la production littéraire contemporaine, sur les changements de la
société grecque elle-même, et des repères historiques.
Enfin, nous tenons à signaler que le choix des textes grecs du Face à face per-
met aux lecteurs de suivre l’évolution de la langue grecque moderne et celle de la
littérature néo-hellénique.
En conclusion, après 29 ans d’existence de la librairie Desmos et les 12 an-
nées d’existence de la revue Desmos / Le Lien, nous pouvons affirmer aujourd’hui
que notre effort pour nourrir et prolonger ce que Georges Séféris nommait « le
commerce spirituel de la France et de la Grèce », apporte à ses nombreux lecteurs
un bénéfice culturel certain.
Notre credo : « Depuis longtemps, Desmos amarre dans Paris le cœur d’une galaxie qui
fait graviter les livres autour de la Grèce et la Grèce autour des livres. Desmos, qui
signifie « lien », était au départ une petite librairie. Tout ce qui est écrit et concerne
la Grèce se trouve dans ses rayons, et Grecs de Paris et philhellènes se retrouvent
fréquemment dans ses murs pour voir une exposition, suivre une lecture, rencon-
trer un auteur. À partir de 1996, Desmos, renouant avec une ancienne tradition,
s’est ouvert à une activité d’édition. Aux titres déjà publiés, est venue s’ajouter,
depuis l’automne 1999, cette revue résolument francophone. Ainsi, le « lien »
s’enrichit d’un nouveau lieu de rencontre. » La revue Desmos / Le Lien en ce jour de début octobre [2012] a déjà publié 38 numéro
ENTEFKTIRIO, PORFYRAS, TO DENTRO, DESMOS / LE LIEN
Yiannis Patilis, Nicolas Karapidakis, Giorgos Hronas, Harris Vlavianos, Giorgos
Kordomenidis, Dimitris Konidaris, Tassos Goudelis, Françoise Muller-Mavroeidakos
Ent’revues | « La Revue des revues » 2013/1 N° 49 | pages 68 à 81 SSN 0980-2797
DOI 10.3917/rdr.049.0068 Article disponible en ligne à l’adresse : https://www.cairn.info/revue-la-revue-des-revues-2013-1-page-68.htm
Pour aller plus loin…..dans la littérature grecque
MIET : Accès numérique gratuit aux magazines littéraires grecs des 19e et 20e siècles
La Fondation culturelle de la Banque nationale de Chypre et l’Université de Chypre offrent un accès gratuit en ligne à 458 titres de magazines littéraires grecs des XIXe et XXe siècles provenant de la collection de la Banque nationale de Chypre. Un accès gratuit à une collection numérique extrêmement importante : 458 titres de périodiques grecs rares des 19e et 20e siècles – dont certains sont des acquisitions uniques de la bibliothèque des Archives littéraires et historiques helléniques du MIET -, soit un total de 25. 648 numéros accessibles sans frais ni procédures compliquées. 648 numéros sont accessibles sans frais ni procédures compliquées. Conectez vous ici
DIAGONIOS Magazine littéraire et artistique de Thessalonique. Rédacteur en chef et directeur : Dinos Christianopoulos. Rédacteur artistique. 1958-1993, Dinos Christianopoulos. Consultez la revue ici
83 magazines littéraires en ligne dans Anoikti Bibliothiki Consultez la collection ici
Revues numérisées ELIA Les Archives littéraires et historiques helléniques (ELIA) ont été créées en 1980. Depuis 2009, elles font partie de la Fondation culturelle de la Banque nationale de Grèce (MIET) et sont situées au 5 et 4 de la rue Agios Andreou à Plaka (tél. 2103211149). ELIA est présent à Thessalonique depuis 1997. Depuis février 2011, il est hébergé par le Centre culturel de Thessalonique du MIET dans la Villa Kapantzi, 108 rue Vasilissis Olga (2310 295176). Les collections numériques d’ELIA-MIET sont disponibles ici, ainsi que sur Europeana et SearchCulture.