Mechri ti Thalassa Marco Gastine | France, Grèce | 2019 | 108 minutes | 35 mm & HD
Ils ont apprécié Jusqu’à la Mer :
« Au fil des séances, alors qu’on observe les accidentés dans leurs métamorphoses, la beauté du film est de s’en tenir à ce vœu de sobriété : ne pas donner l’illusion au patient gravement atteint qu’il pourra remarcher et inventer avec lui son corps de demain. »
Maroussia Dubreuil dans Le Monde et lemonde.fr
« Notre rapport au corps, au handicap, en est bouleversé dans ce film poignant où les patients nous émeuvent moins du fait de leurs difficultés que, de leurs luttes que par leur force de caractère. »
dans L’Humanité
« Effacé derrière une mise en scène sobre parce qu’invisible, Gastine saisit un quotidien éprouvant où chaque geste et attention est porteur d’espoir. […] En terre hellénique, la « mer » charrie plus qu’ailleurs, un imaginaire mythologique pour devenir promesse d’odyssées »
Thomas Baurez dans Première
« Difficile, devant un tel travail en profondeur, d’émettre des réserves sur la longueur de l’ensemble. D’autant qu’on ressort plein d’énergie, heureux d’être en bonne santé, vigilant à le rester, avec un fond d’espoir au cas où […] Marco Gastine éclaire avec une justesse insigne l’aphorisme tant galvaudé de Nietzche « ce qui ne me tue pas me rend plus fort »
Gilles Tourman dans Les fiches du cinéma
« Entre larmes et bonne humeur le film nous arme face à l’adversité. La force de la relation, la confiance dans la force de l’autre et l’humour décalé des personnes porteuses de handicap s’inscrivent comme une ode à la vie. Jusqu’à la mer n’est pas un film sur de graves accidentés mais sur des hommes en phase de renaissance. »
Jean-Marie Dinh dans Altermidi
« Jusqu’à la Mer, un documentaire poignant sur le combat d’accidentés de la vie. »
Susie Bourquin sur infirmiers.com
« Entre frustrations et réussites, résignation et espoir, rires et colère, le réalisateur franco-grec Marco Gastine met en lumière les étapes majeures de leur «renaissance» dans Jusqu’à la mer.»
Cassandre Rogeret sur handicap.fr
« La renaissance a beau être parfois, voire souvent, partielle, elle fait plaisir à voir. Chaque sourire semble provenir du cœur et accepter la vraie beauté de la vie, même si beaucoup rentrent chez eux avec un handicap impossible à effacer.»
Stanislas Claude dans Publik’Art«
Stanislas Claude dans Le Quotidien du Cinéma
Filmographie
Courts métrages
- 1984 : Drame électrique
- 1986 : Eva
- 1988 : L’Année de la comète
Longs métrages
- 1993 : Athènes, à la recherche de la cité perdue (coréalisation : Soula Dracopoulou)
- 2004 : Marseille, profil grec
- 2008 : Themis (sélectionné au festival de Cannes 2009 dans la programmation de l’ACID1)
- 2013 : Demokratia, chemin de croix (Dimokratia, o Dromos tou Stavrou)
- 2019 : Jusqu’à la mer (Mechri ti Thalassa)
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